Chapitre 4 - Cauchemar
Toute ressemblance avec des faits ou des personnages existant ou ayant existé etc...etc... Enfin je vais pas vous la refaire en entier, vous commencez à être au courant je pense...
J’avançais lentement vers une Sally terrorisée qui tentait de se réfugier vers le poteau où elle était enchaînée.
« Je passerai au bureau un peu plus tard... je tenais à te dire bonjour avant d’y aller... j’espère que tu vas bien. Ne t’inquiète pas pour tes employés, je leur dirai que tu es partie en déplacement, tout va très bien se passer ne t’en fais pas...
- MAIS POURQUOI ET COMMENT OSES TU ME FAIRE TOUT ÇA À MOI !!!!!?????? It’s fucking horrible and you’re just a fucking damn psychopath !!!
- Et toi je pense que tu es la patronne la pire qui puisse exister espèce de «fucking bitch» pour reprendre une de tes expressions favorites, et je suis encore pire que ce que tu peux imaginer... you have no idea... »
Sally commençait à ne plus ressembler à rien avec sa robe Prada en lambeaux, la tête ébouillantée et ses pieds qui commençaient à la faire souffrir dans des chaussures qu’elle ne pouvait pas enlever.
Je sortis de mon sac un autre escarpin à talon. De 8 cm celui ci.
« Tiens, mets ça.
- What ? But il est où le deuxième chaussure ?
- Nulle part : tu vas garder une chaussure avec un talon de 12 cm à gauche, et un de 8 à droite. Et puis te vas marcher comme ça pendant 3 heures dans la pièce accrochée à ta chaîne, comme si tu n’étais qu’un pauvre petit animal tout pourri. C’est tout.
- ARE YOU FUCKING NUTS ????
- Completly tombée sur la tête même... bon tu mets ça et puis surtout tu la fermes. »
Elle s’exécuta et commença à marcher en claudiquant. Elle était pathétique...
Comme j’étais sûre qu’elle mettrait beaucoup de mauvaise volonté pour marcher, j’avais apporté de quoi la faire courir un peu...
« Sally, c’est quoi cette démarche stupidement futile ? Enfin tu te débrouilles très bien... perso j’ai jamais su marcher avec des talons, j’ai l’air de rien, mais toi... quelle classe ! Tu es comment dire... splendide ! Voilà, c’est le mot. Ah, et sinon je t’ai apporté de la compagnie... »
Je vaporisai les jambes de Sally avec un liquide puis ouvris la cage que j’avais apportée avec moi. Une douzaine de rats énormes s’élancèrent dans la pièce, et attirés par l’odeur, bondirent vers Sally en poussant de petits cris stridents. Cette dernière hurla car les rats - à l’instar du père d’Indiana Jones - étaient son ultime phobie...
Prise de panique, elle essaya de courir, piétina sur place, s’emmêla les pieds au milieu des rats et de sa chaîne, et s’étala de tout son long dans les morceaux de verre pilé qui déchiquetèrent un peu plus son visage enflé de cloques.
« J’oubliais... ils sont affamés... j’aimerais que tu te dévoues et que tu leur donnes à manger.
- MAIS QUOI ?
- Et bien... réfléchis... dévoue toi un peu pour ces petites bêtes affamées voyons, tu n’as donc pas de cœur ?
Que penses tu de leur donner... quelques un de tes doigts par exemple... voyons... il sont une douzaine, mais ils devraient par exemple se partager... allez... disons : 3 doigts... et encore, je suis méchante avec eux...
Ça ne fait pas beaucoup finalement pour de pauvres petites bêtes mortes de faim...
- HO MY GOD MAIS TU NE PEUX PAS FAIRE ÇA ET PUIS MOI AUSSI J’AI FAIM !
- Et bien mange un rat si tu veux ? Non ? Allez... quels doigts ? Je te laisse choisir... mais fais vite, sinon je décide moi même...
- NOOOOOOOO !!!!!! »
Sally était vraiment trop indécise et moi j’allais être en retard à mon rendez vous, elle commençait sérieusement à me taper sur les nerfs.
Perdant tout patience, j’attrapais ma pince coupante d’une main et lui empoignai la tête de l’autre en lui sifflant :
« Sally maintenant tu vas payer pour tout ce que tu as fait, je pourrais décider de te tuer tout de suite et d’en finir rapidement, mais je veux te montrer que certaines personnes peuvent se montrer aussi sadiques que toi voire pires ... et je suis de celles là. Alors maintenant tu te décides où sinon je choisis.»
Elle était incapable de parler tellement elle hurlait... tant pis pour elle.
Quand son pouce gauche tomba par terre, il provoqua une bataille sans merci chez les rats qui manquèrent de s’entretuer pour le dévorer.
Quand l’index de la même main fut sectionné à sa base, Sally hurla et tourna de l’œil en voyant les rats manger ses restes.
Je décidai dans un élan de bonté soudaine, de ne couper que 2 doigts au lieu des 3 prévus initialement.
« Je te laisse ta main droite ma chère Sally, tu vas en avoir besoin bientôt...
Là il faut que je retourne au bureau... et puis tu as plutôt intérêt à t’habituer à tes nouveaux amis puisque ce sont eux qui vont te tenir compagnie à présent... garde bien tes chaussures , je reviendrai plus tard, en attendant, je te laisse méditer... dans le noir.
- MAIS TU PEUX QUAND MÊME PAS ME LAISSER COMME ÇA!!! Donne moi quelque chose pour que je puisse mettre autour de ma main, ça saigne partout !!!!
- Heu... écoute j’ai rien sous la main pour éponger tes saletés là... je sais pas moi... ta robe Prada? ha elle est ruinée... quel dommage... et sinon tu crois qu’un rat c’est aussi absorbant que des Vania pocket ? Essaie d’en attraper un pour voir... »
J’avançais lentement vers une Sally terrorisée qui tentait de se réfugier vers le poteau où elle était enchaînée.
« Je passerai au bureau un peu plus tard... je tenais à te dire bonjour avant d’y aller... j’espère que tu vas bien. Ne t’inquiète pas pour tes employés, je leur dirai que tu es partie en déplacement, tout va très bien se passer ne t’en fais pas...
- MAIS POURQUOI ET COMMENT OSES TU ME FAIRE TOUT ÇA À MOI !!!!!?????? It’s fucking horrible and you’re just a fucking damn psychopath !!!
- Et toi je pense que tu es la patronne la pire qui puisse exister espèce de «fucking bitch» pour reprendre une de tes expressions favorites, et je suis encore pire que ce que tu peux imaginer... you have no idea... »
Sally commençait à ne plus ressembler à rien avec sa robe Prada en lambeaux, la tête ébouillantée et ses pieds qui commençaient à la faire souffrir dans des chaussures qu’elle ne pouvait pas enlever.
Je sortis de mon sac un autre escarpin à talon. De 8 cm celui ci.
« Tiens, mets ça.
- What ? But il est où le deuxième chaussure ?
- Nulle part : tu vas garder une chaussure avec un talon de 12 cm à gauche, et un de 8 à droite. Et puis te vas marcher comme ça pendant 3 heures dans la pièce accrochée à ta chaîne, comme si tu n’étais qu’un pauvre petit animal tout pourri. C’est tout.
- ARE YOU FUCKING NUTS ????
- Completly tombée sur la tête même... bon tu mets ça et puis surtout tu la fermes. »
Elle s’exécuta et commença à marcher en claudiquant. Elle était pathétique...
Comme j’étais sûre qu’elle mettrait beaucoup de mauvaise volonté pour marcher, j’avais apporté de quoi la faire courir un peu...
« Sally, c’est quoi cette démarche stupidement futile ? Enfin tu te débrouilles très bien... perso j’ai jamais su marcher avec des talons, j’ai l’air de rien, mais toi... quelle classe ! Tu es comment dire... splendide ! Voilà, c’est le mot. Ah, et sinon je t’ai apporté de la compagnie... »
Je vaporisai les jambes de Sally avec un liquide puis ouvris la cage que j’avais apportée avec moi. Une douzaine de rats énormes s’élancèrent dans la pièce, et attirés par l’odeur, bondirent vers Sally en poussant de petits cris stridents. Cette dernière hurla car les rats - à l’instar du père d’Indiana Jones - étaient son ultime phobie...
Prise de panique, elle essaya de courir, piétina sur place, s’emmêla les pieds au milieu des rats et de sa chaîne, et s’étala de tout son long dans les morceaux de verre pilé qui déchiquetèrent un peu plus son visage enflé de cloques.
« J’oubliais... ils sont affamés... j’aimerais que tu te dévoues et que tu leur donnes à manger.
- MAIS QUOI ?
- Et bien... réfléchis... dévoue toi un peu pour ces petites bêtes affamées voyons, tu n’as donc pas de cœur ?
Que penses tu de leur donner... quelques un de tes doigts par exemple... voyons... il sont une douzaine, mais ils devraient par exemple se partager... allez... disons : 3 doigts... et encore, je suis méchante avec eux...
Ça ne fait pas beaucoup finalement pour de pauvres petites bêtes mortes de faim...
- HO MY GOD MAIS TU NE PEUX PAS FAIRE ÇA ET PUIS MOI AUSSI J’AI FAIM !
- Et bien mange un rat si tu veux ? Non ? Allez... quels doigts ? Je te laisse choisir... mais fais vite, sinon je décide moi même...
- NOOOOOOOO !!!!!! »
Sally était vraiment trop indécise et moi j’allais être en retard à mon rendez vous, elle commençait sérieusement à me taper sur les nerfs.
Perdant tout patience, j’attrapais ma pince coupante d’une main et lui empoignai la tête de l’autre en lui sifflant :
« Sally maintenant tu vas payer pour tout ce que tu as fait, je pourrais décider de te tuer tout de suite et d’en finir rapidement, mais je veux te montrer que certaines personnes peuvent se montrer aussi sadiques que toi voire pires ... et je suis de celles là. Alors maintenant tu te décides où sinon je choisis.»
Elle était incapable de parler tellement elle hurlait... tant pis pour elle.
Quand son pouce gauche tomba par terre, il provoqua une bataille sans merci chez les rats qui manquèrent de s’entretuer pour le dévorer.
Quand l’index de la même main fut sectionné à sa base, Sally hurla et tourna de l’œil en voyant les rats manger ses restes.
Je décidai dans un élan de bonté soudaine, de ne couper que 2 doigts au lieu des 3 prévus initialement.
« Je te laisse ta main droite ma chère Sally, tu vas en avoir besoin bientôt...
Là il faut que je retourne au bureau... et puis tu as plutôt intérêt à t’habituer à tes nouveaux amis puisque ce sont eux qui vont te tenir compagnie à présent... garde bien tes chaussures , je reviendrai plus tard, en attendant, je te laisse méditer... dans le noir.
- MAIS TU PEUX QUAND MÊME PAS ME LAISSER COMME ÇA!!! Donne moi quelque chose pour que je puisse mettre autour de ma main, ça saigne partout !!!!
- Heu... écoute j’ai rien sous la main pour éponger tes saletés là... je sais pas moi... ta robe Prada? ha elle est ruinée... quel dommage... et sinon tu crois qu’un rat c’est aussi absorbant que des Vania pocket ? Essaie d’en attraper un pour voir... »